"La base de la cuisine française repose avant tout sur deux ingrédients indispensables: le gros sel et le sel fin.

De même, la langue française est faite de mots à mouture variable: petits mots, mots moyens, mots durs, mots doux et gros mots.

François Rabelais fut en son temps le plus éblouissant serviteur des belles lettres françaises. Non pas à cause mais grâce à l'artisanale magie de son verbe dont les superbes jurons colorés déculottaient déjà ces hémiplégiques du langage qui cachent leurs mots crus et montrent au tout-venant leur langue cuite, surbouillie, sans saveur et sans images."

Pierre Desproges

   

Les élèves de 5A ont rencontré Panurge, et quelques moutons à l'âme moutonnière, Gargantua peu de temps après sa naissance (via l'oreille de sa mère Gargamelle, juste avant les ripailles festives de son père Grandgousier), Gargantua encore, en plein pantagruélique petit-déjeuner ou en pleine éducation humaniste, ou dévorant quelques pèlerins par inadvertance au coeur d'une laitue d'autant plus délicieuse que sa taille frisait le gigantisme...

Ils ont lu, râlé parfois - à peine - devant la difficulté ; mais surtout beaucoup ri et appris des quelques gros mots et/ou nombreuses facéties de ces bons énergumènes convertis à un idéal de paix, de rire et de connaissances.

La plume aux 5A : rangez-vous, dégarpissez des couloirs ou de vos écrans ! Gargantua et ses amis du XXIème siècle débarquent à la Chauss...





Promenades rabelaisiennes

...

5ème A

Collège La Chaussonnière

   

La tempête


Gargantua continua son voyage et arriva dans une ville où il n'y avait personne , ils étaient tous rentrés chez eux. Tout d'un coup ...

Il se mit en colére et déclancha une tempête à cause des gens qui habitaient dans cette ville et qui avaient provoqué le géant par leur absence.

La tempête s'arrêta enfin, le géant continua sa colére. Il arracha les toits des maisons et vit ou sentit un homme sortir par la porte. L'ogre l'attrapa et le jeune homme lui expliqua : «Ne me mangez pas, j'ai une famille ! S'il vous plaît ! »

La bête le dévora d'une seule bouchée et se rappella ce que le personnage lui avait murmuré comme mot: «Famille». Il attrapa la famille et la mangea d' un coup sec.

Gargantua continua sa route jusqu'à rentrer chez lui. L'énorme créature était si contente de revoir ses parents! Il entra et s'assit.

Le père commença à parler et argumenta :

« -Tu n'as pas maigri. Au contraire tu as grossi. Qu'as-tu fait ?

- Je me suis arreté dans une ville et j'ai mangé !, répliqua le gros garçon.

- Gargantua , tu n' es pas raisonnable! enchérit la mère. Voyons , allez monte dans ta chambre et couche toi! Bonne nuit mon fils.»

Maureen

   

Hercule cherche de la compagnie


Au XXI siècle, dans un petit village du nord Bergue, les carillons sonnaient, la rosée flottait sur l’herbe.

Soudain, un tremblement…. On vit une créature, elle ressemblait à un monstre, un titan, une armoire à glace qui surgissait de nulle part. C’était un géant. Ce dernier était robuste, avec une tête vide et allongée, un visage serein, des cheveux de couleur poivre, un nez pointu et des oreilles décollées.

Il s’arrêta devant une maison. Cette créature aurait aimé sonner mais ses doigts, trop gros, défoncèrent la porte. Le monstre finit par se démoraliser à force de sonner à toutes les portes sans aucune réponse humaine.

Il voulait jouer avec quelqu’un. Cette force de la nature entendit du bruit ; il s’avança délicatement et vit trois milliards cinq cents mille personnes qui dansaient et chantaient ! La créature voulut les rejoindre ; mais les gens prirent peur et rentrèrent chez eux ! C’est pour cela qu’il s’énerva et s’allongea par terre. Il pleurait, donnait des coups de poing et de pied au sol.

Cela causa une inondation, associée à plusieurs tremblements de terre. Puis avec tous ces mouvements, les séismes formèrent un cyclone. Cela devenait une catastrophe pour l’humanité. Tous les villageois voulaient arrêter ce titan, mais il était trop grand. Les habitants cherchèrent et timaginèrent une solution.

Il fallait que tous les habitants jouent avec lui pour qu’il arrête ce vacarme. Les villageois le lui demandèrent . Notre force de la nature accepta et sauta de joie.


Moralité : Il ne faut jamais contrarier une force de la nature.

Florian

   

Gargamelle et la guêpe


Au début du XXI éme siécle à Los Angeles,Gargamelle apparut : jeune, immense, plus grand qu'un immeuble !


Ce colosse crut voir devant lui quatre mille trois cent vingt- huit bouteilles de vin rouge; alors que c'étaient des immeubles. Il les souleva, démonta l'architecture, et lesenfonça dans sa bouche.

Les personnes sur le balcon tombèrent dans le trou profond de son gosier, liquidées dans l'estomac .

Puis une guêpe arriva sur le nez de l'ogre.

« -Qu'est ce que c'est que ce bazar, c'est vous ? questionna la petite bête .

-Oui ,j'ai soif ! s'expliqua le géant .

-Je te donne mon miel et en échange tu arrêtes ce vacarme ! essaya de négocier l'insecte .

L'homme suivit la rikiki avec joie .

Elle lui donna son miel, sauf celui de la réserve, pour travailler en paix .

- Ne reviens pas toucher aux immeubles sinon ... je te pique !menaça l'abeille

- Oui , mais tu me donneras du miel ? supplia t-il en essayant de sympathiser.

- D'accord ! s'exclama la naine. »

Le gourmand rentra dans sa maison, tellement content qu'il en pleura.

Et tous les lundis et les jeudis la puce venait pour ramener du miel et pour se raconter des blagues de minuscules bestioles et de géants humains.

Pauline Q.

   

Granpiétuas au Mont Saint-Michel

Granpiétuas se retrouve au XXIéme siécle au Mont Saint Michel..

Un jour, des touristes et des religieux voyent un géant si grand qu' il dépasse le monument historique.Il trône dans le parking et regarde si il y a quelqu' un dans la petite cabane du gardien. Personne ne s'y trouve.Quand il tombe,les touristes entendent un gros boum...qui provoque un séisme. Les moines s' enfuient. Ils donnent des coups de pied au gigantesque énergumène. Celui-ci a tellement mal qu' il se met en colère, et le ciel devient noir.Dans la lune, les astronautes voyent bien que la planète Terre est toute noire.

Une heure plus tard, le niveau de la mer a baissé et on déplore beaucoup de morts. Quand Granpiétuas rentre chez lui et voit que sa mére est encore en vie, il est très content de revoir sa maman. La mère questionne son fils. « Pourquoi y a-t-il eu de l' orage? ». Le petit ogre s'excuse: « Ah! Je suis tombé par terre et j'ai crié. J'ai créé un tremblement de terre. »

Stanislas

   

Alphonse le coléreux


Alphonse, un robuste géant à la tête carrée et aux cheveux bruns et hérissés, était à la recherche de nourriture. Après quelques heures de marche, il arriva aux portes de Barcelone, une grande ville d'Espagne.

Il se promena dans les ruelles longtemps sans trouver de gens ni de nourriture, ce qui le mit en colère.

Tout à coup un déluge de plomb s'abattit sur lui, des avions de chasse le fusillaient: « Quoi donc des oiseaux me lancent des gravillons ?!!! ». Le géant se mit à courir pour atteindre la côte. Là un autre déluge de plomb s'abattit sur lui. Cette fois-ci des chars le fusillaient « Des chenilles?! Elles aussi me lancent des gravillons, je dois rêver. » Il sauta par dessus un char et il atteignit la côte.

Là un troisième déluge de plomb s'abattit.

Valentin

   

Gargantuo à New York


Le géant Gargantuo est le cousin du célèbre Gargantua. Gargantuo se dirige vers la très grande ville de New York.


Le jeune Gargantuo mesurait quatre cents mètres, le géant possédait des mains râpeuses et il dégageait une haleine nauséabonde. Ce jour-là, il se trouvait sur l'autoroute à mille sept cent soixante-quinze virgule cinquante-huit kilomètres de la luxueuse cité de la grosse pomme. Pour lui le marquage au sol était difficile à respecter puisque cet homme robuste chaussait du mille cent cinquante-huit, et puis de toute façon il s'en moquait.

Le lendemain, le colosse arriva dans la vaste commune. Notre titan était émerveillé par la beauté lumineuse des immeubles et l'odeur des restaurants lui mettait l'eau à la bouche. Mais une seule chose le perturbait et il s'écria soudain:

- « Où est mon cure-dents? »

Le cure-dents était en fait la Tour Eiffel mais pour la force de la nature ce n'était qu'un objet de la taille d'une cure-dents. Orle monument le plus connu de la capitale française se trouvait à Paris et non à New York. Alors l'armoire à glace se roula par terre et détruisit un million un maisons et appartements de la partie Ouest. Ensuite, il chiala abondamment et inonda la partie Est de la gigantesque municipalité. Puis il gueula si fort: « Mon cure-dents! » que sa bouche se transforma en contrebasse. A cause de ce vacarme, toutes les huisseries de la partie Nord explosèrent et la totalité de ses habitants perdirent leurs tympans: toute la partie Nord fut (ab)assourdie. Pour finir il s'évanouit et créa un tremblement de terre sur toute la partie Sud.

Il ne restait qu'un seul survivant, un poète nommé Paul Verlainus qui venait de perdre sa femme. Celui-ci s'approcha mais le géant fut à nouveau pris d'une soudaine envie d'uriner...à tire larigot. L'artiste, sachant qu'il allait mourir, s'exclama:

- « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville. »

Marwan

   

Gargantua à Paris


Gargantua, ce géant si bien connu, se retrouva à Paris pour être acteur dans un dessin animé.


Tout à coup, le géant pris de colère provoque une tempête énorme. La cause ? Le metteur en scène mettant Gargantua hors de lui. Il commence donc à s'énerver et affirmer extrêmement fort qui il est vraiment. Mais personne ne le croit.

Comme le tournage se faisait dehors, au vent du Nord, on crut plutôt à une tempête. Elle saccagea toute la partie Nord-Est du tournage. Gargantua parlait tellement fort qu'il perça tous les tympans et éclata toutes les fenêtres. En même temps, de colère, il pissa dans le pantalon du costume qu'on lui avait passé

le jour-même. Ceci produisit un raz-de-marée sur Paris .

Les passants étaient tous effrayés. Il repartit alors chez lui décontracté pour raconter son aventure de la capitale à ses parents.

Amandine

   

L'énorme colère d'un géant


Des voyageurs se promenaient dans la campagne. Mais nos promeneurs se mirent à sauter pour une raison inconnue. Ils continuèrent leur route, même avec les intempéries. Plus les touristes avançaient, plus les tremblements se faisaient entendre.

D'un coup ils virent un colosse de huit millions cinq cent soixante mille six pieds. Les explorateurs allèrent le voir. C'était lui qui avait provoqué les tremblements! Il ne manquait plus que la pluie et ce serait un déluge. Les voyageurs lui demandèrent ce qui n'allait pas. Il leur répondit ceci:

-«Ma...ma.... ma maman - snif- ne veut pas faire - snif- se que je veux, OOUUUUIIIIIINNNN!!!!»

Et il versa neuf millions cinq cent trente mille sept cent neuf larmes à la seconde. Le lilliputien géant avait une silhouette élancée et charpentée. Sa tête semblait carrée vue d'en bas. Son visage devenait triste, son teint maladif et son front se bombait. Plus il pleurait, plus le niveau d'eau montait. Ce fut l'inondation totale! Le siphon frappa le monde entier. L'ogre fracassa sa tête et ses poings par terre. Le petit hurlait, criait encore et encore. En plus de cela, il avait des gaz et une colique, ce qui lui faisait mal au ventre.

Antoine

   

Cargantua, car grand tu l'as!


Le géant Cargantua mesurait déjà à cinq ans trente-huit kilomètres neuf mille cent quarante-huit mètres trois milliards de billiards de centimètres. Son père, Gargantua etait lui même un géant. Son monstre de fils se promenait dans le centre ville de Caen.

Il faisait très chaud. Le jeune Cargantua aperçut la boutique d'un glacier (ce colosse adorait la crème glacée au chocolat).

Le mastodonte courut à grand pas, puis une fois arrivé là-bas, ce jeune géant demanda s'il pouvait avoir une glace, mais le vendeur lui annonça que le magasin était en rupture de stock. Alors le colosse se mit à devenir tout rouge de colère, alors qu'il n'avait que cinq ans (Vous imaginez à quinze !). Un nuage de vapeur d'eau sortit de ses oreilles, ce qui provoqua de grandes pluies qui redonnèrent ses couleurs naturelles au jeune géant. Mais ensuite il devint bleu, il vira du bleu ciel au bleu de Prusse en passant par le bleu cyan, puis il jaunit, devint vert pomme, vert vomi, vert grenouille ensuite rose bonbon avec des points verts enfin il revint à sa couleur normale. Cargantua s'allongea sur le sol et tapa avec ses mains tellement fort qu'il créa une faille à ses pieds. Il écrasa ainsi un millard de millard cinq personnes.

Mais heureusement quelqu'un alla prevenir Gargantua, son pére partit aussitôt chercher un iceberg pour calmer son fils et à son retour, il le lui donna et reboucha la faille.

Pour toutes personnes qui se sont faites écraser par Cargantua je vous demande de l'excuser. Il est jeune et ne sait pas controler sa force .

Jérémy

   

L'énorme colère d'Alphonse


Un beau matin d'été, un géant appelé Alphonse se promenait. Il portait haut une tête fine et allongée, aux cheveux blancs et frisés, aux yeux exorbités et au front bosselé. Il se mit en colére contre sa femme qui n'avait pas préparé son petit déjeuner. Le village de Saint-Ovin, où habitait le monstre, fut ravagé avec ses vingt-trois millions cinq cent vingt sept milles huit cent quatre-vingt-douze bovins par cet éléphant qui s'allongeait, sautait, tapait par terre avec ses poings et ses pieds. Il criait tellement fort que ce hurlement faisait plusieurs fois le tour de la terre avant de revenir dans... son postérieur.

Le coléreux se dirigea finalement vers Avranches. Soyez prudents.

Kévin

   

L'humiliation de Jolimuseau


Au XXI siècle, le très grand géant s'appelait Jolimuseau Codette. Il portait toujours des habits de paysans de la très très très et retrès lointaine et ancienne époque du Moyen-Age. Et surtout, surtout, surtout, planté au milieu de son gros visage crasseux fleurissait un tout petit minuscule nez tout retroussé, comme si son front tout brillant attirait à la manière d'un aimant son microscopique bout-de-pif.

Sa mère faisait partie de l'immense, gigantesque et terriblement interminable clan des mères poules, mais Jolimuseau préférait l'appeler par son nom: Cotcot Codette.

C'était sa cher (un peu trop) mère qui l'obligeait à porter cet énorme, atroce et démesurément grosse ceinture rose bonbon en laine qui gratte le cou et les bras et où le nom de son fils, brodé en noir, trônait tel St Michel en haut de la flèche de l'abbaye du Mont.

Un jour, alors que Jolimuseau allait cueillir des salades (des arbres pour nous), il croisa une de ces minuscules bestioles appelées les zumains. Celles-ci se déplaçaient sur un des ces petits engins à deux roues vrombissant, zigzaguant, et puant.

Le géant s'arrêta pour l'observer avec amusement. Au fur et à mesure que le petit bonhomme avançait, un sourire hideux, tirant du côté droit, se dessinait sur la bonne bouille de notre ami.

Quand le microbe arriva à son niveau et s'arrêta pour dévisager Jolimuseau. Ce dernier se préparant à éclater d'un rire de cent quarante deux virgule cinq mille trois cent décibels, soit environ un avion au décollage, le gnome lui lança ironique entre deux rires:

«  Quel nez de gringalet microscopique vous avez là! Et quelle ceinture royale d'une couleur magistrale orne votre taille! D'ailleurs, je vois d'ici votre nom, mon cher Jolimuseau, qui fait tout honneur au votre: rikiki!... »

Il ne put continuer car son rire étouffait ses paroles.

L'acarien fit redémarrer le véhicule et se dirigea, plié en deux, vers l'étendue de forêt.

Jolimuseau ne bougeait plus: les courtes paroles de cet avorton suffirent à rendre les cent dix millions trois mille deux centimètres carrés de son visage d'une couleur allant de rouge tomate à l'écarlate et à faire éclore des gouttes de sueurs de ses indénombrables pores crasseux.

Provoquée par cette humiliation le titan rentra dans une colère la plus totale. Il se dirigeait vers une ville située entre Avranches et Granville: Topinanbourg.

Quand il fût arrivé, il se mit à crier toute sa haine à l'égard de la demi-portion. Il hurlait tellement fort qu'il souffla deux mille trois cent douze bourrasques malodorantes: les HLM les plus hauts furent envoyés aux quatre coins du globe!

Quand Jolimuseau n'eut plus de souffle, il s'assit sur le seul bâtiment resté intact: l'église où les zabitants zumains s'étaient cachés!

Le monstre se transforma en un agneau perdu; il arracha sa grosse ceinture, et se mit à verser cinq cent quatre vingt dix neuf larmes de désespoir, sans entendre les craquements que provoquait son poids sur le malheureux petit prieuré.

Les zabitants zumains, affolés, pour s'abriter de ce déluge, se réfugièrent aussitôt sous les puanteurs des gros sales ongles et de doigts de pieds. Le préau, si vaste, put accueillir en plus: trois éléphants, quatre rhinocéros, huit macaques, deux fourmis et un moustique qui passaient par là par pur hasard.

Jolimuseau avait ainsi fait vingt mille dix neuf victimes, sans compter Cotcot qui dut refaire une ceinture avec treize mille pelotes (par respect aux personnes cardiaques nous ne diront pas le nombre de moutons à s'être retrouvés tout nus)!

Marion

   

La ballade de Gargantua


Gargantua se promenait au beau milieu de la capitale lorsque les conducteurs parisiens, affolés par cette créature immonde et gigantesque qui ne sentait pas la rose, se mirent à klaxonner.

Notre bon géant, qui se questionnait sur ce vacarme, s'écria : « Mais que font ces mille trois cents quarante-cinq cafards qui courent entre mes jambes et qui me couinent à mes oreilles ? »

Soudain en colère de ne pas savoir à quoi rimait tout ce remue-ménage, il souffla de toutes ses forces, jusqu'à provoquer une bourrasque de vent - que dis-je ? une tempête, un ouragan, une tornade, un cyclone... qui fit s'envoler neuf cent quatre-vingt-dix-neuf voitures.

Mais Gargantua n'était pas au bout de ses peines. Car quand cette histoire arriva aux oreilles du chef suprême de cette ville, il décida d' en avertir son secrétaire, qui donna l'information à son commandant, qui en parla au général, qui prévint son lieutenant, qui ordonna à ses militaires de neutraliser Gargantua.

Mais celui-ci, à peine remis de sa colère, ne supporta guère de voir dix millions neuf cent mille six cent cinquante-sept hélicoptères l'attaquer et le picorer comme le ferait des moustiques!

Notre colérique arracha alors l'espèce de tour, à peine plus grande que sa jambe, qui se trouvait à coté de lui et il s'en servit comme tapette à mouches.

Mathilde

   

L'effrayante colère de Gargantua


Gargantua, tranquillement allongé dans son lit, allait se retourner sept fois, quand soudain, une forte discussion entre ses parents le fit sursauter :

«-Mais tu vois bien que ton fils devient un bouffe-tout ! s'écria sa mère.

-Les géants doivent bien manger à leur faim ! cria son père.

-Et sa culture ? Il ne sait même pas comment nous, les géants avons débarqué ! insista-t-elle .

-Enfin, encore si petit, si jeune ! A son âge, moi non plus je ne m'occupais pas de cela !

-Tu ne donnes pas un bon exemple à suivre ! » hurla-t-elle.

Gargantua décida alors, que lui aussi pouvait dire ce qu'il pensait .

« Comme ça, je ne m'intéresse pas à la culture ? Comme ça je mange trop »?

Cette fois-ci notre bon géant réveilla tous les lilliputiens de la petite ville de Saint-Martin-Des-Champs!

Sa voix puissante provoqua quelques quatre-cent-million-mille-trois-cent-deux humains. Ils se réveillèrent de peur et se cachèrent sous leur couette en tremblant comme deux-mille-six-cent-vingt-trois vibreurs de téléphones portables en action ! Le géant fit peur à ses parents qui maintenant ne sortaient plus un mot !

«Moi petit enfant de quatorze ans comme les autres, je pense avoir beaucoup plus de culture que ces minuscules, microscopiques nains de jardin ! Et les repas que je mange sont dignes de moi : GARGANTUESQUES !

Moi, le plus fort, le plus intellectuel, le plus merveilleux petit garçon de l'univers !

Alors maintenant, je voudrais que vous me laissiez dormir jusqu'à ce que je me

réveille ».

Les parents de Gargantua eurent tellement peur qu'il se cachèrent derrière le frigidaire. Depuis ce jour Gargantua devint maître de ses parents.

Noémie

   

Gargantua à la Chaussonnière


Lorsque que Gargantua arriva au collège La Chaussonnière, il voulut entrer dans une salle de cours. Mais il ne pouvait pas s'introduire dans la classe voulue : il était obligé de casser de très gros morceaux de mur à chaque fois.

Comme tous les matins, quand le Géant arrivait, il écrasa tout le monde sans le faire exprès. Le collège avait était vidé de plus de trois cent vingt milliers d'élèves ! Il n'en restait plus beaucoup maintenant...

Au réfectoire, c'était la catastrophe ! Gargantua voulait toute la salle entière pour qu'il puisse manger tranquille. Le gourmand Géant n'avait jamais à manger, à la fin il était obligé de dévorer les cuisiniers.

A la récréation, il boulifiait de terreur le peu d'élèves restants. Les pauvres enfants devaient se cacher dans le dépôt à cartables.

Jusqu'au jour où Notre bon Gros Géant Gargantua se fit expulser du collège pour avoir tué et terrorisé des élèves. Le collège dut chercher de nouveaux élèves et Gargantua, un nouveau collège.

Océana

   

Gargantua hardi navigateur


C'était par un bel après-midi, au port. Gargantua se promenait avec ses parents, quand il vit un grand et somptueux bateau.

Notre géant demanda alors à ses parents de faire une petite croisière. Ceux-ci refusèrent et expliquèrent à leur énorme petit chérubin qu'il était beaucoup trop gros et grand pour monter à bord de ce bateau. Le géant commença à faire une crise et pleura cent trente neuf milliers de larmes, ce qui fit déborder l'eau du port. Les gens qui se trouvaient autour commençaient à être noyés, tandis que Gargantua continuait sa crise. Il s'arrêta enfin de pleurer quand la moitié des personnes furent noyées, ensevelis sous les eaux ou flottantes inertes à la surface.

Gargantua n'était toujours pas remis. Il commença alors à hurler avec un bruit mortel et assourdissant. Sa mère le calma et il ramassa un homme noyé par ses larmes, le regarda comme si on regardait une fourmis et le mangea. L'homme fut avalé d'un coup... Ses parents décidèrent au bout d'une demi heure de laisser Gargantua faire une croisière seule.

Il fallut douze millions cinq cent trente neuf mille bateaux pour emmener ce gros géant. Lorsque Gargantua revint du large, ses parents l'attendaient avec impatience pour rentrer le plus vite possible. Alors, pendant tout le trajet du retour, notre nouveau navigateur raconta dix neuf mille fois sa traversée en mer; d'ailleurs depuis ce moment ses parents la connaissent par coeur cette fameuse expédition.

Trois jours après, Gargantua voulut retourner au port pour une nouvelle croisière. Ses parents refusèrent et déménagèrent vers un pays merveilleux où il n'y avait ni port ni voisins.

Pauline D.

   

Une tempête Gargantuesque.



Par cette magnifique journée d'août deux mille neuf, notre géant Gargantua se retrouva piégé dans une tempête. Au moment de l'ouragan il se trouvait dans la baie du Mont-Saint-Michel.

Des pèlerins tentaient de rassembler les gens pour les mettre à l'abri. Vint le tour de Gargantua, qui refusa l'aide du marcheur effrayé en lui signalant que ce n'était qu'une simple bise rafraîchissante. Mais à ces mots, les oreilles du pèlerins ainsi que celles des personnes juste à côté de lui explosèrent dans un gigantesque bruit, tellement la voix du géant était forte.

Alors, un deuxième pèlerin le pria de répondre par des hochements de tête si jamais quelqu'un osait lui adresser la parole. Une fois toutes les personnes misent hors de danger, Gargantua, lui, jouait dans le sable. Mais, à cause de sa gigantesque corpulence, quand il fut assis, quatre milliards deux cent quatre vingt huit mille six cent trente-neuf grains de sables lui vinrent dans les globes oculaires. Il pleura et c'est plus de quatre vingt mille tonnes de larmes qui coulèrent de ses yeux et ravagèrent la terre, du Mont-Saint-Michel jusqu'à New-York, ce qui aggrava la situation.

L'armée dut donc intervenir pour déplacer le géant. Dix millions de soldats se présentèrent devant la bête, mais, le vent redoublant de force et d'un seul coup rassembla tous les militaires. Portés par la forte brise, ils devinrent une véritable tornade humaine tourbillonnante.

La température baissait de plus en plus, le goliath toussa, toussa et retoussa encore jusqu'à en faire s'écrouler le Mont....qui écrasa toutes les personnes présentes à l'intérieur.

On perçut à peine les derniers mots du second pèlerin: «  Je lui avais pourtant bien dit de ne pas ouvrir la bouche! ».

Quand Gargantua voulut partir, la mer se déchaîna, ainsi que le vent et la tornade de militaires. La lutte entre ses forces surhumaines dura quarante ans. Une fois ces années écoulées, notre hercule s'épuisa et les forces naturelles en profitèrent pour l'entraîner dans l'eau.

Le héros disparut ensuite noyé sous les flots. Mais en tombant dans l'eau,il fit remonter le niveau de la mer si haut que personne ne pourra jamais accéder à sa dépouille.

Un jour, quand les océans seront asséchés, quelqu'un aura peut-être le privilège d'apercevoir ce que les plongeurs ont cherché en vain.

Silvana

     

Gargantua à la chasse.


Un petit matin, Gargantua prit ses bottes

pour chercher à manger pour sa famille.

Quand il vit un lapin géant, il courut plus vite,

mais le lapin rétrécit comme un ballon.

Alors, il rentra chez lui pour chercher son fusil et repartit.

Il arriva dans la forêt et vit de loin le grand sauteur.

Il tira un coup de fusil.

Mais le lapin vola dans les airs, il continua à tirer si fort que la lune explosa.

Alors, il rentra chez lui sans rien à manger et il s'évanouit de faim.

Soudain sa femme eut une idée, elle dit son mari :

« Vas chercher la dernière poule. »

Il alla la chercher. En même temps, il prit sa carabine et trébucha sur une pierre et tomba donc par terre.

La poule s'affola puis grogna ,

« Ça m'énerve! »

cria Gargantua, si fort que sa voix fit deux fois le tour de la Terre,

et qu'en revenant vers lui elle lui botta les fesses.

Le titan tapa par terre avec ses mains, la tornade se propagea sur la planète; les humains moururent, puis les animaux, puis les insectes.

Le colosse s'endormit.

Mais la tornade le tua et la terre explosa, seul un humain resta en vie. Le nom de ce survivant était Franc,

il alla sur la planète Mars.

Xavier

     

Colossime à New-York


Un géant appelé Colossime dormait sous New-York. Il était grand, maladroit, mince, trapu avec une grosse tête épaisse au visage ouvert. Sa peau pâle, ses cheveux brun, son front bosselé aux sourcils touffus, son nez écrasé et ses lèvres serrées. Son menton rond, ses joues creuses, sa voie grave, son caractère coléreux semblaient caractéristiques de son espèce.

Un jour, le surhomme sentit quelque chose lui percer le ventre. Il se réveilla, s'étira, fit ses exercices matinaux ; en faisant tout cela il détruisit la Statue de la Liberté, les ruines des tours jumelles, Grand central station, l'Empire State Building, Central Park, Brooklyn bridge (en détruisant ce pont il détourna le cour de l'Hudson (qui, soit dit en passant, détruisit par la suite la Maison Blanche ) et il cria :

« - Qu'est que ces larves font sur mon corps? 

 -Monsieur je ne sais pas qui vous êtes mais vous n'êtes pas autorisé ici!lui répondit une voix minuscule.

-Vous ne savez pas qui je suis ? cria le géant.

- Non, gloussa la petite voix

-JE SUIS COLOSSIME ! hurla notre géant.

-Oui j'avais compris que vous étiez grand.

-MON NOM EST COLOSSIME!!!!!!...beugla Colossime dans une colère noire. Et dans sa colère il détruisit ...le nombre de bâtiments est trop grand pour le dire mais il tua cent quatre-vingt-quinze mille quatre cent soixante-huit humains.

Tout à coup, le géant vit des centaines de moustiques – des avions- et une petite voix cria :

-Rendez -vous sil vous plait, car sinon notre chef va nous tuer.

-Voilà, on fait un petit somme et les moustiques deviennent des animaux civilisés...

Alors, le titan écrabouilla tous les moustiques.

Tanguy

     

La promenade d'un géant


C' était l'histoire d' un géant qui vivait au XXIème siècle. Un beau jour le monstre arriva dans une grande ville pour la visiter. La métropole se nommait Paris.

Pour commencer, ce géant appelé  Rodolphe arriva à l' aéroport d' Orly. Impressionné par un avion, il l' attrappa puis le fit retomber. L'avion étant rempli de passagers ; le capitaine lança tout de suite l'alerte. Les soldats arrivèrent et tirèrent plus de deux cent trente-

trois mille huit cent quarante-cinq coups de canon. Rodolphe, surpris de ce qui lui tombait sur la tête, regarda s'il voyait un pommier, car il avait confondu les boulets avec des pommes.

Ce titan adorait déguster des pommes. Chez lui on pouvait trouver un million huit cent vingt-trois mille pommiers.

Cette force de la nature traversa les batiments du terminal. Cela provoqua un violent tremblement de terre.

Ensuite Rodolphe voulut se décontacter . Il urina dans l'énorme trou qu'il venait de produire. Le maire de Paris fut saisi de l'affaire.

Revenons à ce malabar, il continua sa route vers le château de Versailles, là où une troupe de CRS attendait le collosse Rodolphe .

« Qui sont ces gringalets ? » interrogea le goliath...


Tifenn



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